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4 décembre 2011 7 04 /12 /décembre /2011 15:52
Les chroniques ont 18 ans
Notre revue a peut être atteint l’âge de raison.
Elle a en tout cas celui de la majorité. 

C’est le moment de faire un retour sur cette déjà longue histoire.

 N-1.jpg

  Le n° 1 a été publié en octobre 1993.

Dans le 1er éditorial, Patrick H. SIMON  nous proposait :

 

  

«… le champs d’activité central des « Ateliers du Val de Bièvre » est l’histoire.

Celle-ci pour être bien appréhendée, nécessite diverses approches,

toutes complémentaires et intéressantes.

La recherche historique se nourrit de mille petites choses,

de faits quotidiens comme d’événements retentissants…..

Chacun, à son niveau, peut participer à cette activité qui permet

de s’intégrer dans une communauté de vie héritée des siècles. …. »

 

Etant le plus récent « chroniqueur », j’ai voulu voir ce qu’a été notre revue d’histoire préférée pendant toutes ces années. De 1993 à 2011, quatre livraisons ont eu lieu par an.

 

Les premières revues étaient imprimées en noir et blanc.

A partir du n°56, en 2007,  la couleur a été introduite pour la couverture et la dernière page.

Depuis le n°62, nous avons chargé un imprimeur de l’impression et nous mesurons

ainsi une évolution nette de la qualité de l’impression.

 

Les  70 premières revues contiennent 920 articles de longueurs très inégales rédigés par 72 chroniqueurs.

Certains articles sont publiés sur deux ou trois numéros de la revue.

Certains sont très cours, d’autres peut-être un peu longs.

Pour percevoir le contenu de la revue, l’analyse des titres de ces articles est intéressante.

Ils sont des indicateurs du contenu.

Nous pouvons faire le constat suivant  en repérant les noms propres et les mots communs utilisés dans ces 920 titres.

Les noms propres usités plus de 5 fois sont :

 

Nombre de titre

Nom utilisé

85

Arcueil

55

Cachan

24

Paris

35

Bièvre

13

L’Hay

9

Gentilly

7

Bicêtre

7

Fresnes

7

Romain

6

Raspail

5

France

5

Sceaux

 

n-2.jpg

 

 

 Parmi les autres mots utilisés plus de 5 fois le lecteur a trouvé :

 

Nombre de titre

Mot utilisé

25

curieux

20

histoire

17

visite

16

château

12

rue

11

école

11

aqueduc

9

guerre

9

vache

8

savant

7

jardin

6

pont

 

Si nous examinons ces noms ou ces mots, nous constatons que les thèmes locaux sont très présents

dans notre revue avec une forte dominante pour Arcueil, Cachan et la Bièvre.

Puis, la curiosité de nos auteurs est suivie de l’histoire,

les visites et les châteaux, ce qui correspond bien aux activités de notre association.

 

Parmi nos 72 chroniqueurs sur 18 ans très nombreux sont ceux

qui ont écrit une seule fois dans la revue.

Par contre, 2  auteurs ont écrit plus de 100 articles de longueurs variables.

Robert Aebersold en a écrit 143 de 1993 à 2011.

Raymond Gérard, 117 en 8 ans, de 1993 à 2001.


D’autres auteurs, Annette Le Bonhomme, Marie Valletta ont écrit plus de 50 articles.

Patrick  H. Simon également, dont 35 éditoriaux.


Quatre auteurs ont écrit plus de 20 articles.

Il s’agit d’Annie Besnier, Mireille Hébrard, Alain Brunot et Robert Clusan entre 1993 et 2003.


Quelques autres ont proposé plus de dix articles : Paulette Boivin, Simone Lacassagne,

Virginie Capizzi, Marcel Breillot, Hilaire Deneyrole, Robert  Panchairi,


Au total, c’est 15 chroniqueurs qui ont publié chacun plus de 10 articles

pendant ces 18 années. Parmi eux, il a 7 femmes et 8 hommes.


Nous sommes donc presque à parité sur ce point.

n-3-copie-1.jpg

 

 

 Aujourd’hui, notre revue comporte toujours trois grandes rubriques principales :

 L’histoire locale

 L'histore de nos régions

 

 L’histoire nationale 

 D’autres thèmes sont aussi abordés selon les propositions qui  sont faites par les auteurs.


En comité de lecture, nous cherchons toujours à garder un équilibre entre ces rubriques.

D’autres chroniqueurs sont les bienvenus en particulier pour que nous soyons en mesure d’avoir plus d’articles sur l’ensemble des communes de l’agglomération du Val de Bièvre.

A vos plumes ou claviers !

 


Marcel BREILLOT

 

 

Cet article a été publiè dans le N° 72 des Chroniques du Val de Bièvre

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18 novembre 2010 4 18 /11 /novembre /2010 19:03

C'est fait,  Sylvain a ouvert son cabinet de Pédicure Podologue  à  Cachan.


 

Nous lui souhaitons bonne chance et tous nos voeux de  réusites dans son entreprise.


Je constate qu'on lui a donné des avis trés favorables sur Google adresse.


Bravo.

 

carte-de-visite.jpg

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27 septembre 2008 6 27 /09 /septembre /2008 21:01

L’histoire des documents que j'ai mis en ligne a certainement commencé dans les années 80, par quelques recherches généalogiques à propos d’un ancêtre de ma compagne.


Puis vint l’envie de réaliser une généalogie la plus complète possible pour nos enfants Réjane et Sylvain que l'on peut trouver sur Geneanet.


  Vous pouvez acceder à mes données  sur Geneanet en clicquant sur : "Geneanet" en marge ci-contre.


Je constatais alors que mes propres ancêtres avaient tous vécus sur un territoire assez restreint entre Lonlay l’Abbaye, Mortain et Saint Hilaire du Harcouët au sud de la Manche, c'est-à-dire là où je suis né.


 A peu près au même moment, ma mère, Louise LECAPITAINE, me disait avoir eu la visite de L’abbé CAUCHEPIN accompagné par  Monsieur BREILLOT Gaston, eux aussi, faisaient des recherches sur « les BREILLOT de Saint Cyr du Bailleul ».


Quelques temps plus tard, j’étais moi-même contacté par le Père CAUCHEPIN, qui continuait ses recherches. Puis comme à l’ensemble de ses cousins BREILLOT, ce dernier me faisait parvenir des tableaux manuscrits qui  montraient 17 branches issues de Ambroise BREILLOT de Sainte Marie du Bois prés du Teilleul dans la Manche.


 Ces tableaux confirmaient que nous étions cousins avec les BREILLOT de la région de Saint Cyr du Bailleul.


 Dans le même temps, c’est également la découverte  des statistiques sur les patronymes à partir des recensements, publiées par l’INSEE, montrant le petit nombre de nouveau-nés portant notre patronyme au cours des 100 dernières années.

Celles-ci montrent que celui-ci est peut être en voie de disparition.


 Tout cela m’a motivé pour essayer de mieux connaître ces cousinages et  retrouver le plus grand nombre de BREILLOT possible.


 En novembre 2001, je faisais parvenir un courrier à près de 80 familles ou plutôt « foyers » de BREILLOT trouvés sur Internet.


La plupart  m’ont répondu, je leur en suis reconnaissant, d’autres non. De nombreux contacts ont été pris, y compris avec des  BREILLOT qui n’apparaissaient dans les tableaux de filiations du Père CAUCHEPIN et dont jusqu'à ce jour je n’ai pas réussi à raccrocher  les branches à notre propre filiation.

 Ce fut aussi plusieurs rencontres avec Fernand BREILLOT de Livry Garguan.

 Je dois le remercier ici pour la qualité des échanges que nous avons pu avoir, et surtout parce qu’il a su retrouver les archives du Père CAUCHEPIN, décédé quelques années plus tôt. Celles-ci nous ont permis de vérifier plusieurs hypothèses sur les cousinages existants. Elles m’ont servi de guide pour les recherches aux archives de l’Orne et à la mairie de Lonlay L’Abbaye.


 Ainsi est née l’idée, de faire cette modeste recherche sur notre patronyme.


 Elle est, évidement, très incomplète. Elle demande encore à évoluer. J’espère que des lecteurs pourront rectifier mes erreurs ou m’apporter des informations complémentaires.


 Au-delà de la généalogie, il m’a semblé intéressant de poser quelques éléments d’histoires locales des villages où les BREILLOT ont vécu.


En effet tous ces personnages ont vécu dans des contextes historiques qu’ils ont à la fois subit mais auxquels ils ont participé  chacun à leur niveaux.

 

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Au fil du temps

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